Un petit bébé a une grosse tête posée sur un cou peu musclé ; celle-ci doit en permanence être retenue quand le bébé est en position verticale, dans les bras d’un adulte par exemple. On comprend que le fait de le secouer énergiquement ou de le gifler, dans un mouvement de colère entraîne un mouvement incontrôlable de sa tête et on imagine les dégâts que le cerveau peut subir.
Les lésions sont la plupart du temps irréversibles et le bébé sera handicapé toute sa vie.
Un bébé est fragile, il n’a que les pleurs pour exprimer un besoin, une souffrance ; les adultes doivent être patients, se contrôler, quelque soit la situation ; ils n’ont aucune excuse à utiliser la violence contre un bébé.